Salut, camarades !
Ici Peter Fonda ! 26 berges, toutes mes dents, instit', harleyiste dans l'âme, et bon épicurien de nature.
J'aime la bonne bouffe, et les bonnes bouffées. Toujours un cigare après un bon repas.
A 17 ans, on m'a fait fumer un cigare de je n'sais où, et je trouvais ça bien dégueulasse, je vous avoue. C'était lors de l'anniversaire d'un bon pote. J'animais sa soirée, et voilà qu'un gars bien éméché me dit : "tiens, fume ça, c'est du bon". Ce machin était d'ailleurs pratiquement entamé. Et le mois qui suivait cet événement, je suis allé en librairie, une envie soudaine, pour me procurer un bon p'tit Verellen corona, ce cigare belge fait à la machine au tabac découpé en p'tits morceaux. Bref, un cigare qui se fume généralement en terrasse d'un café. Son prix n'est d'ailleurs pas très élevé.
Je l'avais bien aimé mine de rien ce p'tit belge pas cher. Pas si deg' en fin de compte.
Mais mes papilles gustatives devenaient de plus en plus exigeantes. La cause étant qu'un membre de ma famille m'avait offert deux ou trois Romeo y Julieta Exhibicion, Cohiba Exquisito et Davidoff Special T vers mes 19/20 ans.
Ma préférence reste à l'heure d'aujourd'hui le Romeo y Julieta Belvederes et Sport Largos, ainsi que le Private Stock.
Mais avec le temps, je me suis laissé séduire par d'autres cigares. Que ce soit du cubain, du dominicain, ou en provenance de pays frontaliers... Vous en retrouverez quelques-uns présentés ci-dessous, encore emballés. Forcément, je n'aime pas à l'idée que des cigares de différentes marques soient mélangés dans leur boîte. L'emballage est donc de mise pour cette poignée.
Mes ancêtres étaient de sacrés fumeurs de pipe et cigare. L'un de mes oncles (paix à son âme) m'en avait appris les rudiments.
Je préfère d'ailleurs le terme "savourer" lorsque j'apprécie un cigare, plutôt que le terme "fumer". Question de principe.
La guillotine présente dans l'humidor n'est là que pour les invités. J'utilise une Hadson à double lame.
Au plaisir pour une p'tite papote en votre compagnie ! See you later !